By: PWHL Ottawa Media
April 9, 2024
french version below
PWHL Ottawa has 11 representatives at the IIHF Women’s World Championship. That’s a league high! Four of these players are part of the Canadian team that will try to win back the gold medal. In this adventure, Ashton Bell will be an important figure on defence. We spoke to her before her departure for Utica.
First question: You’re representing Canada at the World Championship, but you’re also representing the Prairies and your community of Manitoba. That must make you very proud.
Ashton: For sure! There are lots of girls back home looking up to me. They are following my every step. It’s very exciting that I can get back on the World Championship’s roster this year. A lot of them will be just as excited as I am and that they can’t wait to watch. Every time I’m asked to represent my country, it’s the same thing. It’s a huge honor. I’m really looking forward to getting back together with the girls. Our goal, as always, is to win the gold medal. Having this league to play in definitely brings up a lot of confidence to me.
Second question: A lot has been said about your transition from forward to defence. Do you think you would have had such great opportunities, if you hadn’t decided to switch to being a defender?
Ashton: I’m not sure! That’s a very good question. I often ask myself that as well. Overall, defence suits my game a lot better. I’ve been getting lots of great opportunities since the day I chose to make the transition. It has been overwhelming and it couldn’t have worked out better for me.
Third question: You grew up in Deloraine, a small municipality in Manitoba. You chose to study in Duluth, Minnesota. Not the biggest metropolis! You’re now pursuing a career in Ottawa, which isn’t the biggest city in the PWHL. Is it an environment that suits you?
Ashton: Definitely! Ottawa is a great fit for me. I knew from the start that Ottawa had that smaller town feeling. I knew the community would get behind us no matter what. I had no trouble feeling at home here.
Fourth question: In an interview earlier this season, Carla MacLeod said you’re a “quiet comedian” in the locker room. What do you think that means?
Ashton: I’m not sure! I definitely like to have fun in the locker room. There are a few players on our team who like to dance. I’m always dancing and singing to whatever song is on the speaker. I like to bring my energy, in my own way. I like to get the girls ready for a game.
Fifth question: Humor is something that develops with confidence. Skills on the ice also develop with confidence. After playing almost 20 games in the PWHL, how has your confidence grown?
Ashton: I’m feeling more and more comfortable on the ice. That’s to be expected, given that we play the same teams so often. I’d say I’m feeling more and more at ease. Our group also helps me a lot. I always feel well supported. I feel that everyone wants me to succeed.
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CINQ QUESTIONS AVEC: ASHTON BELL
Première question: Vous représentez le Canada au Championnat du monde, mais vous représentez aussi les Prairies et votre communauté du Manitoba. Tout cela doit vous rendre très fière…
Ashton: C’est évident! Je sais que des quantités importantes de jeunes filles, dans ma région, suivent avec intérêt mon parcours. Elles seront tout aussi contentes de savoir que je fais partie de notre équipe nationale, ce printemps. Chaque fois qu’on me demande de représenter mon pays, c’est la même chose. C’est un immense honneur. Je suis très emballée à l’idée de retrouver les filles. Notre but, comme toujours, sera de remporter la médaille d’or. Parce que j’affronte les meilleures joueuses au monde chaque semaine, dans la LPHF, je dirais que je suis encore plus confiante.
Deuxième question: On a beaucoup parlé de votre changement de position. Croyez-vous que vous auriez obtenu d’aussi belles opportunités, si vous n’aviez pas décidé de passer en défense?
Ashton: Je ne suis pas certaine! C’est une très bonne question. Je me la pose très souvent. Je suis convaincue que la position de défenseure me convient davantage. J’obtiens des tas de belles opportunités depuis le jour où j’ai choisi de faire le changement. Je suis très reconnaissante.
Troisième question: Vous êtes originaire de Deloraine, une petite municipalité du Manitoba. Vous avez choisi de faire vos études à Duluth, au Minnesota. Ce n’est pas la plus grade métropole! Vous faites maintenant carrière à Ottawa, qui n’est pas la plus grande ville de la LPHF. Est-ce un milieu qui vous ressemble?
Ashton: Définitivement! Ottawa est une ville qui me ressemble. Je savais, dès le départ, que je débuterais ma carrière dans une ville où le sentiment d’appartenance est fort. Je savais que la communauté se rangerait derrière nous. Je n’ai pas eu de mal à me sentir chez moi, ici.
Quatrième question: Dans une entrevue, plus tôt cette saison, Carla MacLeod a déclaré que vous êtes une «humoriste discrète» dans le vestiaire. À votre avis, qu’est-ce que cela veut dire?
Ashton: Je ne suis pas certaine! J’aime bien m’amuser, dans le vestiaire. Il y a quelques joueuses, au sein de notre équipe, qui aiment la danse. J’en fais partie. Je danse et je chante toujours. Je m’adapte à tous les styles de musique qui jouent dans nos haut-parleurs. J’aime bien partager mon énergie, à ma manière. C’est essentiel, quand on se prépare à jouer un match.
Cinquième question: L’humour, c’est quelque chose qui se développe avec la confiance. Les aptitudes sur la patinoire se développent aussi avec la confiance. Après avoir joué près de 20 parties dans la LPHF, comment se porte votre confiance?
Ashton: Je me sens de plus en plus à l’aise, sur la glace. C’est un peu normal, étant donné qu’on affronte les mêmes équipes souvent. Je dirais que je me sens de plus en plus à l’aise. Notre groupe m’aide aussi beaucoup. Je me sens toujours bien soutenue. Je sens que tout le monde souhaite a réussite.