By: PWHL Ottawa Media
February 7, 2024
french version below
First question: Before leaving Toronto, you took part in the NHL All-Star Pride Cup, a ball hockey game involving members of the Toronto Gay Hockey Association. Why was it important for you to get involved at this level?
Emily: I feel privileged to have had the opportunity to participate in the NHL All-Star Weekend. In addition to representing the PWHL in the Canadian Tire 3-on-3 Showcase, I felt I had the opportunity to participate in different events. The Pride Cup is organized by Pride Tape. I’ve been lucky enough to take part in different events with these people in the past. I’m proud of what they’ve achieved, just as I’m proud to be part of the community. We all know why Pride Tape exists. At the end of the day, it’s the message that gets across. Hockey really is for everyone. We were all equal parts field hockey players during the Pride Cup. We all had a lot of fun.
Second question: You’re going to keep seeing the sights over the next few days, but the next trip certainly won’t bother you. You’re going home! You must be thrilled to get the chance to play a game with Team Canada, back in Saskatchewan…
Emily: I’ve had quite a week! I’ve made a lot of dreams come true. A few years ago, I’d never have thought I’d be able to take part in Sens Skills. I would never have dreamed of taking part in the NHL All-Star Weekend. After playing a game of hockey in our professional league, I’ll be able to go home and play a game with the national team! I can’t believe it’s all going to happen in a span of 10 days! I feel so lucky! I think I was 16 when I played my last game at home. I’m very proud to be from Saskatoon. I’m always happy to come home. I’m very happy for the people in our community who will be able to attend a high-level women’s hockey game.
Third question: What do you miss most when you’re away from home?
Emily: There are so many! I’d say I miss people, first of all. My family and friends come to mind, of course. Saskatchewan people are genuinely good. They’re humble, too. They’re hard workers. These are all personality traits I try to adopt in my everyday life. I’ve always felt the support and love of the people of Saskatchewan. I must admit that this is particularly true of the people of minor hockey in Saskatoon. This game between Canada and the United States will be special for me. But I want to dedicate it to all the people who have helped me over the years.
Fourth question: It’s been a few months now. Are you starting to feel at home in Ottawa?
Emily: I’ve said it before. When we found out which cities would make up the PWHL, Ottawa was the one I wanted to be in. And everything that’s happened since then has been extraordinary. I love our staff. I love our players. I love the culture of organization that is taking place. As a city, I love it! It’s a small, big city. We feel that our team is already part of the community. You can see it every night when the stands at TD Place fill up. People cheer us on as they pass us on the sidewalks. Our fans are passionate. I couldn’t see myself anywhere else.
Fifth question: You’ve played quite a few games so far this season. What makes you optimistic about your team’s chances?
Emily: We’re getting to know who we are. Of course, we’d like to have won more games, but we’re still very proud of the way we’ve played, even in defeat. We’re convinced we’re playing the right way. We’ll be back on the right side of things very soon. In the meantime, we’re happy with the way we played. That’s more than enough for now.
+++++
5 QUESTIONS AVEC: EMILY CLARK
Première question: Avant de quitter Toronto, vous avez participé à la NHL All-Star Pride Cup, un match de hockey balle impliquant des membres de la Toronto Gay Hockey Association. Pourquoi était-il important, pour vous, de vous impliquer à ce niveau?
Emily: Je me sens privilégiée d’avoir eu l’opportunité de participer au Week-end des Étoiles. En plus de représenter la PWHL dans le Défi à 3 contre 3, je sentais que j’avais l’opportunité de participer à différents événements. La Pride Cup est organisée par l’entreprise Pride Tape. J’ai eu la chance de participer à différents événements, avec ces gens, dans le passé. Je suis fière de tout ce qu’ils ont accompli, tout comme je suis fière d’appartenir à la communauté. Nous savons tous pourquoi Pride Tape existe. À la fin de la journée, c’est le message qui est véhiculé. Le hockey, c’est pour tout le monde. Nous étions tous des hockeyeurs à parts égales durant la Pride Cup. Nous avons tous eu beaucoup de plaisir.
Deuxième question: Vous allez continuer de voir du pays, dans les prochains jours, mais le prochain déplacement ne vous dérangera certainement pas. Vous rentrez à la maison! Vous devez être emballée d’obtenir la chance de jouer un match avec Équipe Canada, chez vous, en Saskatchewan…
Emily: Je viens de vivre toute une semaine! J’ai réalisé tout plein de rêves. Il y a quelques années, je n’aurais jamais pensé que j’aurais pu participer aux Sens Skills. Je n’aurais jamais rêvé de prendre part au Week-end des Étoiles de la LNH. Après avoir disputé un match de hockey dans notre ligue professionnelle, je pourrai rentrer à la maison pour jouer un match avec l’équipe nationale! Je ne peux pas croire que tout ça va se produire dans une période de 10 jours! Je me sens très chanceuse! Je crois que j’avais 16 ans quand j’ai joué mon dernier match à la maison. Je suis très fière de venir de Saskatoon. Je suis toujours contente de rentrer à la maison. Je suis très contente pour les gens de notre communauté qui pourront assister à un match de hockey féminin de haut niveau.
Troisième question: Qu’est-ce que vous manque le plus, quand vous êtes loin de la maison?
Emily: Il y en a tellement! Je dirais que les gens me manquent, d’abord. Je pense à ma famille et à mes amis, bien entendu. Les gens de la Saskatchewan sont sincèrement bons. Ils sont humbles, aussi. Ce sont de grands travaillants. Voilà autant de traits de personnalité que j’essaie d’adopter, dans ma vie de tous les jours. J’ai toujours ressenti l’appui et l’amour des gens de la Saskatchewan. Je dois avouer que c’est particulièrement le cas des gens du hockey mineur de Saskatoon. Ce match opposant le Canada aux États-Unis sera spécial pour moi. Je veux quand même le dédier à tous ces gens qui m’ont aidé au fil des ans.
Quatrième question: Ça fait quelques mois, maintenant. Commencez-vous à vous sentir à la maison, à Ottawa?
Emily: Je l’ai dit, déjà. Quand nous avons connu l’identité des villes qui composeraient la PWHL, Ottawa était celle où j’avais envie de me retrouver. Et tout ce qui s’est passé, depuis, a été extraordinaire. J’aime les employés de notre équipe. J’aime mes coéquipières. J’aime la culture d’organisation qui s’installe. La ville, en tant que tel, je l’aime! C’est une petite grande ville. On sent que notre équipe fait déjà partie de la communauté. Ça se voit chaque soir, quand les gradins de la Place TD se remplissent. Les gens nous encouragent quand ils nous croisent sur les trottoirs. Nos fans sont passionnés. Je ne me verrais pas ailleurs.
Cinquième question: Vous avez joué un nombre assez important de matches, depuis le début de la saison. Qu’est-ce qui vous rend optimiste?
Emily: On commence à connaître notre identité. Bien sûr, on aimerait avoir gagné plus de matchs, mais nous demeurons très fières de la façon dont nous avons joué, dans la défaite. Nous sommes convaincues que nous jouons de la bonne façon. Nous allons nous retrouver du bon côté des choses très bientôt. En attendant, nous sommes contentes de notre façon de jouer. Ça nous suffit amplement, pour l’instant.